Une épopée familiale entre la France et l’Iran, tendre et lumineuse, nommée 4 fois aux Molières 2023
C’est l’histoire de quatre universitaires d’horizons politiques et sociaux différents, entre 1971 et 1979. Du déclin du Shah à la date fatidique de la révolution iranienne et de l’arrivée du régime islamiste au pouvoir.
C’est l’histoire d’une famille en voie de recomposition, en vacances à Avoriaz, à l’aube du bug de l’an 2000 et des deux tempêtes qui vont ravager la France.
C’est l’histoire du guerrier Bijan et de la princesse Manijeh qui s’aimaient d’un amour passionnel malgré la haine du méchant roi Afrâsyâb.
C’est l’histoire d’une manipulation politique internationale, d’une lutte avortée, d’un peuple sacrifié, du silence pesant de la culpabilité, de la transmission dont on ne sait que faire, de l’amour qui ne sait plus où aller.
C’est celle, à vrai dire, de toutes les révolutions.
2 Molières 2023 ∼ Molière de l’Autrice (Aïda Asgharzadeh)– Molière du Comédien Second Rôle (Kamel Isker)
+ 2 nominations Molière du Théâtre privé – Molière de la Mise en scène du Théâtre privé (Régis Vallée)
Texte Aïda Asgharzadeh
Mise en scène Régis Vallée
Interprétation Aïda Asgharzadeh, Kamel Isker, Azize Kabouche, Toufan Manoutcheri, Sylvain Mossot et Ariane Mourier
Décor Philippe Jasko et Régis Vallée Costumes Marion Rebmann, assistée de Marie Dumas de la Roque Lumières et régie générale Aleth DepeyreMusiques Manuel PeskinePerruques Julie PoulainAssistante mise en scène Mélissa Meyer
ACME, Atelier Théâtre Actuel et Les Béliers Parisiens
Photos © Alejandro Guerrero
Le Parisien
Entre rires et larmes, on embrasse ces poupées qui se jouent de nous avec un plaisir immense.
Le Journal du Dimanche
Efficace, poignant, divertissant.
La Provence
Superbe. Tragédie et humour se superposent dans ce qui est un voyage théâtral admirable, où les comédiens nous émeuvent à chaque seconde. Aïda Asgharzadeh en tête, avec à ses côtés Azize Kabouche, Sylvain Massot, Toufian Manoutcheri, Sylvain Mossot, Ariane Mourier, sans oublier l’extraordinaire Kamel Isker, jouent au diapason avec un évident esprit de troupe. C’est beau, et d’une densité qui ravit l’âme et les sens.
Classique en Provence
Les mots sont justes, touchants, et les sentiments que l’on éprouve, intenses.