Une relecture moderne, survoltée et électrisante de Flaubert !
Voici l’épopée ordinaire de l’un des plus magnifiques anti-héros de la littérature : Frédéric Moreau. En pleine Monarchie de juillet, entre Nogent et Paris, suivons les déambulations amoureuses et politiques de cet enfant d’un siècle en pleine mutation. De ce roman d’apprentissage qui pulvérise nos dernières illusions, deux acteurs-musiciens font une matière à jouer moderne et survoltée. Flaubert s’électrise !
Auteur Gustave Flaubert
Libre adaptation Paul Emond
Metteuse/metteur en scène Sandrine Molaro et Gilles-Vincent Kapps
Distribution Sandrine Molaro et Gilles-Vincent Kapps
Collaboration artistique David Talbot — Scénographie Esther Granetier − Lumières François Thouret — Costumes Sabine Schlemmer − Musique originale Gilles-Vincent Kapps
Producteur La Fiancée du requin
En coréalisation avec le Théâtre de Poche-Montparnasse
Photos © Pascal Gely
En tournée
Le Journal d’Armelle Héliot
Sandrine Molaro et Gilles-Vincent Kapps accomplissent un miracle : ils restituent l’un des plus célèbres des romans d’apprentissage de la littérature française, dans sa complexité, sa puissance, ses humeurs et le savant tressage du cours chahuté de l’histoire avec la vie d’un homme aux ambitions calculées. Un irrésistible spectacle !
Le Point
Électrisée par des riffs de guitare jamais invasifs, portée par cette mise en scène franchement gonflée et ces comédiens sidérants, la langue de Gustave Flaubert résonne dès lors comme jamais : pure, cruelle, ultramoderne, tendant au public de 2023 le miroir de ses petites lâchetés et de ses renoncements. Merveilleux !
Le Figaro Magazine
L’excellente adaptation de Paul Emond, renforcée par des séquences musicales et des effets de mise en scène très réussis, rend ce désespoir plus enlevé et aimable, pas moins terrible que dans le roman.
Télérama
TT Les âmes sensibles à l’art du romancier (…) sont vite embarquées par les interprètes, qui se partagent les rôles dans un condensé bien ficelé.
L’Œil d’Olivier
Une belle féérie théâtrale. Captivé, on suit avec un immense plaisir l’histoire de Frédéric Moreau. (…) En écho à notre société actuelle, ce texte résonne furieusement à nos oreilles. À ne pas manquer.