Un seule-en-scène sur la résilience dont on ne ressort pas indemne !
VRAI ou FAUX :
– L’eucalyptus sert essentiellement à déboucher le nez et désinfecter les toilettes.
– Les arbres ne craquent que pendant les intempéries.
– Le handicap physique est toujours visible.
– Seules les personnes droguées prennent de l’opium.
Dans « Ça sent l’eucalyptus », Marjolaine vous apporte ses réponses remplies d’autodérision désopilante. C’est son histoire, un drame comique autobiographique, improbable, un destin chamboulé par une chute d’eucalyptus camaldulensis. Marjolaine, écrasée par cet arbre, nous livre dans un humour grinçant son accident, les étapes de sa reconstruction et l’acceptation de son handicap invisible.
Texte Marjolaine Pottlitzer et François Szabowski
Mise en scène Eric Desport
Interprétation Marjolaine Pottlitzer
Collaboration artistique Marion Mezadorian
Lumières Luc Khiari
L’iLiAQUE et Atelier Théâtre Actuel
Photos © Frédérique Toulet
« Imaginez : je pique-nique à l’ombre d’un eucalyptus quand tout à coup, Crac Boum Ah, un arbre me tombe dessus, enfin… la moitié ! C’est un gros arbre qui se sépare en deux arbres jumeaux et l’un des deux m’écrase, il fait 60 cm de diamètre… On me cherche dans les feuillages pendant une dizaine de minutes, c’est là que je me suis aperçue que j’avais perdu connaissance. Si t’as le temps, je te raconte la suite parce que c’est super drôle quand même ! » Marjolaine Pottlitzer